La chapelle Saint-Joseph (ancienne mairie)
Sa construction date de décembre 1729. Cette chapelle transformée en 1825 en mairie, servira d’école et de logement pour l'instituteur communal jusqu’au début de la Troisième République. L'actuelle mairie se trouve désormais dans les locaux de l'ancienne école communale du Jardinet.
Le milieu de la voûte de la salle des délibérations, ancienne « Salle des mariages », porte une pierre qui constate sa fondation. Elle représente un petit écusson ayant deux lettres (PP) placées en sautoir sur une petite croix, et autour les quatre chiffres formant 1734. Au-dessus de l’ancienne porte d’entrée de la chapelle, on remarque les deux lettres PP sur la grille en fer forgé.
Le Castelas
La première église paroissiale consacrée à saint Bardulphe, abbé du monastère de Bobbio, en Italie. La chapelle qui touche la sacristie était consacrée au culte de saint Alzias, et celle de face à la Vierge. Elle faisait partie de l'enceinte féodale et domine toutes les constructions de Rochefort.
À présent, le monument est utilisé comme salle d'exposition ou d'évènements culturels.
Église paroissiale Saint-Bardulphe.
Edifice en 1849, appartient à l'architecture gothique. Cette église peut être considérée comme une des plus complètes et des plus harmonieuses de toutes celles qui existent dans le département.
L’église sera entièrement réalisée avec des pierres extraites de carrières de la région, pas de récupération locale.
En 1954, une cloche neuve sera installée dans le clocher côté droit. Elle sera bénie le même jour que celle du Castelas.
La Fontaine de l’Ange
En 1821, c'est la fin de grands travaux d'adduction d'eau et une canalisation des sources de Vaujus au cœur du village. Cette fontaine, placé devant la maison commune, a été construite une première fois en 1859, modifiée en 1874 et supprimée en 1963 lors de l’adduction d’eau de la ville. Elle fut reconstruite en 2003 par l’association rochefortaise “Aïgo I Font”.
Sanctuaire Notre-Dame-de-Grâce
Il fut construit par Charlemagne en 798. Au XVIIe siècle, il subit un renouveau lié à la réforme catholique, tant dans le domaine de la piété que dans celui des bâtiments entièrement rénovés et agrandis. Ravagé au XVIIIe siècle, il fut restauré au XIXe siècle en monastère bénédictin en 1836 jusqu’à la révolution. À partir de 1964, il fut transformé en foyer de charité. On trouve au pied du sanctuaire une chemin de croix de 14 stations.